a vivre

Chers amis internautes, en espérant que vous avez apprécié le récit de la terrible punition que m’a infligée mon amie Sophie, j’ai décidé pour mon propre plaisir exhibitionniste de vous offrir d’autres expériences que nous avons vécues ensemble, et qui, j’espère, vous donneront des idées ou vous plairont simplement.

Tout ce que j’écris ici fut donc réellement vécu. Sophie et moi étions un couple tout à fait normal à la ville et au lit en principe, mais avec un jardin secret non négligeable : nos relations sadomasochistes dans lesquelles petit à petit nous avons dépassé toutes nos limites et acquis une panoplie d’accessoires SM. Il y avait ainsi un goût absolument spécial entre nous : celui de la transgression, de la souffrance, de l’humiliation et de la domination. Au commencement, j’avais révélé mes fantasmes de soumission à ma copine une fois que nous parlions de sexe. Nullement choquée, Sophie m’avait dominé, puis nous eurent des séances de plus en plus « hard » où elle prit un plaisir non dissimulé à me soumettre.

Ce soir-là, nous rentrions d’un dîner en ville. Passablement chauffés par l’alcool (il est vrai que l’alcool nous désinhibait souvent et nous donnait d’innombrables idées de torture), nous étions dans le train qui nous ramenait chez moi. Il était vers les 22h et nous étions heureux mais fatigués. Alors que le train entrait en gare, Sophie me dit soudain :

- Tu te rappelles la fois où je t’avais versé la cire, comme tu avais souffert ?

En effet, nous avions essayé la cire brûlante plusieurs mois plus tôt. Elle m’en avait versé dans une punition, mais j’avais tellement souffert que j’avais demandé qu’elle cessât. La bougie devait être en matière qui chauffait particulièrement. Je lui répondis :

- Bien sûr ! Mais c’était atroce.
- Tu mérites qu’on recommence, me dit-elle.
- De toute façon, je n’ai pas de bougie chez moi et les magasins sont fermés, rétorquais-je quelque peu surpris par ses mots.
- Oui, mais le shop est ouvert jusqu’à minuit…

Habitant à 300 mètres de la gare, j’ai, il est vrai, un shop de dépannage ouvert tous les jours de l’année de 6h00 du matin à minuit.

- Oui, mais de toute façon ils ne vendent pas de bougie, le magasin est trop petit pour qu’ils aient ça en rayon ! Lui dis-je.
- Et bien peut-être qu’ils en ont.
- Mais non, arrête.
- Et qu’est-ce que t’en sais ?? Me lança-t-elle sèchement. Tu mérites la cire.

J’étais un peu étonné de son subit comportement dominateur, mais quelque peu excité, il faut l’avouer. Il faut dire aussi que je n’avais pas vraiment envie d’être supplicié à la cire ce soir-là… Je réfléchis : j’allais souvent faire de petits achats dans ce shop, sans jamais y avoir vu de bougies à vendre. J’entrais dans son jeu en lui disant :

- Ecoute, on parie. On va voir, et si on trouve des bougies, tu me tortures avec ce soir, s’il n'y en a pas, tu me fais un massage et me bichonnes pendant une heure.
- Ca marche, me répondit-elle.

Arrivés, nous entrâmes dans le shop et fîmes un tour des rayons, sans rien trouver.

- Voilà, tu as perdu, lui criai-je en riant.
- Et ça, c’est quoi ? Me dit-elle les yeux brillants, en sortant de je ne sais où un sac en plastique de bougies pour réchaud.

J’avais perdu une fois de plus. J’allais être soumis sans ménagement ce soir-là… J’étais partagé entre la crainte de souffrir et l’excitation de dépasser une limite. Elle partit payer rapidement puis me pris par le bras pour m’amener dans mon appartement. Aussitôt, elle me demanda d’aller « me préparer dans la chambre», ce qui veut dire me mettre nu et sortir les accessoires en l’attendant.

Elle vint sans tarder, en sous-vêtements. J’étais nu sur le lit, les accessoires habituels disposés à son service. Je commençais à bander. En un temps record, elle m’attacha dans la position dans laquelle elle préférait me voir, c’est-à-dire « en X », soit couché au lit sur le dos, bras et jambes écartés. Avec le temps, elle apprit à m’attacher ainsi en un clin d’œil, mon corps écartelé sans pitié et à sa merci. Il faut avouer que j’adorais être ainsi… Puis elle me saisit les seins avec force, les tourna et les mordit comme à son habitude. Mon corps se tendit, je gémis. Elle me fixa ensuite aux seins les poids (ces pinces reliées à des poids, sans doute les pires instruments de torture qui soient, d’autant plus si les poids ne sont pas légers…), les faisant pendre le long de mes flancs. Vint immédiatement la douleur, cette ténébreuse et fascinante maîtresse, qui effraie et attire à la fois. Sophie me mit ensuite le bâillon-boule, ce fameux bâillon qu’elle serrait très fort et qui m’empêchait de prononcer le moindre mot, ce qui l’amusait beaucoup, surtout lorsque je tentais de m’exprimer pour me plaindre de quelque chose ou pour lui demander une faveur. Parfois elle me faisait l’honneur de saisir la boule du bâillon et la soulever un peu, me permettant d’avaler ma salive et de parler. Elle profita pour bouger un peu les pinces qui enserraient mes seins, me provoquant une vive douleur.

Un de ses sévices favoris était la punition par manque. Je m’explique : alors que je bandais et que mon sexe réclamait quelques allers venues pour le calmer, elle m’excitait au maximum sans toucher mon sexe pendant de très longs moments. Je devenais fou ; des petites gouttes de sperme s’agglutinaient à la sorte de mon sexe. C’était affreux ! Frustrant mais en même temps excitant. C’était très cérébral : il fallait respirer, se contrôler et surtout ne pas tirer sur les liens pour ne pas qu’ils s’enfoncent dans ma peau. Parfois elle se contentait d’effleurer ma verge, ce qui était encore pire car le sexe se préparait à être soulagé, mais non. C’est bien sûr ce qu’elle fit ce soir-là. Dans ces moments, son regard était en même temps sévère et terriblement satisfait de ma totale soumission. Et quand je la suppliais (elle jouissait intérieurement dans ces moments-là), elle attendait encore pour me calmer.

Elle s’absenta quelques instants, et revint avec des glaçons dans un verre. Elle adorait me torturer aux glaçons, les faire fondre sur mes seins, ma verge, mon anus. Elle les mettait souvent dans ma bouche quand elle en avait fini avec. J’avais ainsi un supplice supplémentaire, qui faisait aussi office de bâillon provisoire. Là, elle les frotta sur tout mon corps, qui frissonnait. Elle retira les poids et passa immédiatement un glaçon sur mes seins, ce qui me fit sursauter de douleur. Elle en était amusée. Puis elle me dit :

- Maintenant, ça va être le plus dur.

Elle saisit deux bougies, les alluma et les fit tourner sur elles-mêmes afin de produire le plus de cire liquide possible. Dans l’attente, je tremblai de crainte. Elle versa d’un coup le contenu des bougies sur mes seins, ce qui me fit gémir sous mon bâillon. Mon corps se raidit sous la douleur violente et mes bras et mes jambes tirèrent sur leurs liens, ce qui augmenta encore mes souffrances. Elle arracha la cire une fois refroidie, afin de pouvoir recommencer à même la peau. Elle en fit pareillement sur plusieurs parties de mon corps : le ventre, les flancs (horrible, car la cire coule, ce qui augmente la surface de brûlure), les pieds, puis s’attaqua à mon sexe. Là, la douleur fut insupportable. Mon sexe débanda. Je sursautai, tentai de lui supplier d’arrêter, mais mes cris n’étaient que de ridicules gargouillements à cause du bâillon. Le temps semblait s’être arrêté. Et pensez-vous qu’elle cessa mon supplice ? Bien sûr que non, ça l’amusait terriblement de me voir si humilié et souffrant, moi qui avais assez pour habitude d’avoir ma fierté en public. Peut-être était-ce pour elle une forme de vengeance, elle assez timide et soumise en société.

Elle stoppa enfin. Elle ôta la cire durcie et m’enleva le bâillon. Mon sexe se durcit à nouveau. Elle tira encore sur mes seins si douloureux (horrible) et me dit :

- Tu as bien souffert, tu mérites d’être soulagé.
- Oh! Oui, je t’en supplie. Tu pourrais me faire une pipe !

Elle n’aimait pas trop ça, je le savais. En tous cas, elle n’avalait jamais. Mais comme pour la sodomie, elle me l’accordait pour me faire plaisir de temps à autre, par exemple si j’avais été particulièrement méritant.

Et cette garce (oups pardon, c’est amical) me répondit après un instant de réflexion :

- D’accord mais à une condition.
- Accepté !! J’en peux plus, soulage-moi criai-je.
- Je te suce mais après tu avales tout ton sperme.

Je n’avais jamais avalé mon sperme, tout au plus goûté une fois une mini goutte par curiosité. Mais sur le coup, j’ai accepté sans réfléchir. Sophie me pratiqua une fellation royale et moi, au septième ciel, je jouis rapidement dans sa bouche délicieuse. Elle aspira toute la semence de mes giclées jusqu’à ce que ma jouissance totale prît fin. Puis elle s’avança près de mon visage, m’embrassa et j’ouvris la bouche pour que s’y déversât ma sécrétion. Même si je n’avais guère envie de l’avaler ; mais pour moi une parole est une parole. J’avalai d’un coup tout mon sperme afin de ne pas sentir son goût âcre et ce ne fut pas trop difficile.

Elle me détacha. Nous prîmes une douche et nous endormîmes complètement heureux de notre soirée un peu particulière.

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